At this moment, Garbage Collector was a Plume instance, because I was very curious about federated blogging tools and I wanted to have again my little corner on the Web to express my useless thoughts (it’s something I like since high school in early 2000’s - having useless thoughts and express them).
Ce constat je le fais aussi bien en tant que professionnel du secteur travaillant selon les principes de la démarche DevOps et me trouvant donc à mi chemin entre le développement et l’opérationnel (historiquement, je viens de la partie Ops) qu’en tant que client utilisant le produit de services informatique d’entreprise.
De nos jours, pas mal de logiciels sous Linux sont distribués sous la forme de binaires AppImage. C’est un moyen qui dispose de nombreux avantages que ce soit pour l’utilisateur ou le développeur… Mais qui introduit aussi d’autres soucis qui ont tendance à m’irriter lorsque je me retrouve confronté à ceux-ci.
J’avais testé il y a peu le le service kDrive d’Infomaniak pour voir ce que ça donnait. A côté de ça, j’utilise depuis un peu plus d’un an leur offre Mail et je vous propose un retour d’expérience.
L’offre
Le service Mail d’Infomaniak est décliné sous deux offres : une gratuite avec un mail @ik.me et une payante.
Lust From Beyond est un jeu vidéo d’horreur psychologique développé par le studio polonais Movie Games Lunarium et publié en mars 2021. Il est la suite de Lust from Darkness sorti l’année d’avant. Il est fortement inspiré par l’univers Lovecraft (comme The Sinking City que j’avais évoqué ici) et notamment par le court récit From Beyond de ce dernier. Outre l’horreur à la Lovecraft, le jeu mélange habilement à la peur et à la violence un érotisme sans tabou avec une mise en scène crue de sectes aux pratiques cumulant violence et luxure.
Je ne reviendrai pas en détails dessus, ayant consacré un article à son Remaster HD. Skyward Sword est sorti en 2011 sur Nintendo Wii et adopta un gameplay 100% basé sur la détection de mouvements. Profitant du Wii MotionPlus (et d’une manette l’intégrant inclus dans l’édition collector), le joueur faisait les mouvements de Link et celui-ci les reproduisait à l’écran.
Dans le précédent billet, nous avons fait le tour du commencement de la Saga Zelda jusqu’à la fin des années 1990. La première décennie des années 2000 est inaugurée par Majora’s Mask sur Nintendo 64. C’est une période durant laquelle Nintendo n’a pas chômé, produisant de nombreux titres sur plusieurs supports avec l’aide de collaborateurs externes.
Le tout premier épisode de la série est sorti en février 1986 au Japon, sur la Nintendo Entertainment System, aussi connue nous le nom de Famicom. Le jeu est sorti là bas comme lanceur de l’extension Disk System de la console, un lecteur de disquettes pour la NES. Ceci permit à la console d’avoir un support de stockage beaucoup moins cher, mais en contrepartie lent et peu fiable. Ce système permettait aussi d’avoir une sauvegarde des données des jeux et une meilleure qualité sonore.
Après un billet sur la virtualisation et les containers, je vous proposer d’aller plus loin dans le détail de ces derniers car il s’agit désormais d’un élément incontournable dans la façon de déployer un logiciel. Je ne reviendrai pas sur ce qu’est un container puisqu’on l’a abordé dans le précédent article et vous invite à aller le consulter avant si besoin. Ici, nous allons voir l’un des principaux outils du marché, Docker, ses alternatives, comment ça marche, et l’écosystème d’outillage qui s’y est greffé pour améliorer leur utilisation.
Après avoir essayé le PineBook Pro, puis le PinePhone, j’ai récemment acquis la PineTime, une montre connectée du même fabricant elle aussi proposée en open-hardware et propulsée par des logiciels libres. A dire vrai, je n’ai jamais réellement eu d’intérêt pour les montres connectées, y voyant un gadget parmi tant d’autres et un nouveau mouchard à ajouter à la liste des autres fournis par les constructeurs du marché.
Dans mon précédent billet sur le Cloud Computing, j’ai abordé des éléments tels que la virtualisation et les containers. Il s’agit de concepts relativement proches mais qui font parfois l’objet de houleux débats entre ce qui est de la virtualisation et ce qui n’en est pas. Ce billet vous proposera une explication de ce qu’est la virtualisation matérielle, et en quoi elle est intéressante associée à la containérisation.
Il y a quelques temps, je vous avais présenté Piwigo, une solution libre auto hébergée de galerie d’images. Suite à la réinstallation de mes outils sur un nouveau serveur, je n’avais pas vraiment envie de reprendre cet outil… Il est très bien, mais je ne voulais pas encore une fois depuis installer une base MySQL juste pour lui car je préfère PostgreSQL. Je me suis donc demandé s’il n’était pas possible de tout simplement générer ma galerie photos avec Hugo en mode site statique… Et bien oui.
Après avoir terminé de Final Fantasy VII Remastered j’ai enchaîné sur Final Fantasy IX, le jeu suivant de la série sorti en 2000 sur Playstation. Il s’agit ici aussi d’une version remaniée à l’occasion du portage sur les consoles du moment qui ont permis d’avoir comme pour VIII des graphismes améliorés et des bonus de gameplay. FFIX est un des jeux que j’ai beaucoup apprécié dans la série notamment car il démontre l’aboutissement technique acquis par Squaresoft sur la Playstation et aussi en matière de jeux 3D. Son histoire s’enchaîne rapidement et le scénario apporte quelques rebondissements sympathiques malgré quelques éléments un peu caricaturaux.
A la suite du malheureux incident vécu par OVH et ayant perdu mon serveur dédié durant celui-ci, j’ai du tout reconstruire. Le bon côté de cette mésaventure est que cela me permet de repartir sur une nouvelle base et de développer de nouvelles compétences. Ici, mon objectif a été d’automatiser le plus possible les actions me permettant de créer les différents composants que j’auto-héberge sur ma machine. Le premier était : reconstruire mes VM en peu de temps.
Il y a quelques mois, je vous proposais un article sur comment j’ai mis en place une sauvegarde chiffrée des données de mon serveur perso sur un stockage en ligne chez OVH. Le coeur du système était piloté par Duplicati, un outil de sauvegarde open source que j’apprécie bien, mais que je trouve assez peu pertinent dans le cas présent en fait. Déjà, il ne démarrait pas toujours au reboot du serveur de backup, ce qui me gênait un peu. Ensuite, j’ai eu du mal à être notifié d’une bonne exécution des sauvegardes.
A la suite de l’article de présentation de Final Fantasy XIV, voici un billet au sujet de sa première extension : Heavensward, sortie en juin 2015 soit deux ans après A Realm Reborn. Les principaux éléments ajoutés par cette extension sont le passage du niveau maximum à 60, trois nouveaux Jobs, des nouvelles régions avec la possibilité pour le joueur de se déplacer en monture volante. Durant cette nouvelle aventure, le personnage représentant le joueur dans les matériaux promotionnels (appelé le Hyur Midlander par la communauté en raison de son apparence basée sur celle par défaut des Hyurs) s’affiche en tant que Dragoon après avoir été Archer puis Warrior dans A Realm Reborn.
Dans sa documentation, les auteurs de Git le disent eux-même : “Git est cryptographiquement sûr, mais pas infaillible”. Lorsqu’on récupère des objets en provenance d’Internet, une bonne pratique est de vérifier la signature cryptographique de ceux-ci. Souvent proposée sous la forme d’un hash ou checksum à comparer, cette signature est une valeur permettant de certifier que l’objet récupéré n’a pas été altéré en chemin (attaque man in the middle, réécriture des binaires à la volée, corruption pas d’bol, etc).
Les imprimantes 3D me faisaient de l’œil depuis quelques temps et j’ai fini par sauter le pas en juillet 2019 en achetant la Dagoma Disco Ultimate alors dernière née de la gamme du fabricant Roubaisien. Proposée au tarif de 399.99€, il s’agit d’un kit à monter soit-même. A ce moment-là je me suis dit : “la plus cool et la plus chère des maquettes que je ne me suis jamais offerte”. Dans ce billet, je vous proposerai une liste de quelques objets fabriqués avec qu’ils soient inutiles (déco, etc) ou utiles (outils, etc). Ensuite, j’aborderai un peu plus en détail le fonctionnement et donnerait aussi quelques réflexions à ce sujet.
Qu’est-ce qui n’allait pas avec Plume ? Bien qu’encore en développement et expérimental, il s’avère stable et plutôt bien foutu dans l’ensemble avec une interface simple sans pour autant être trop minimaliste qui me plaisait. Il s’agissait de l’un de mes premiers pas dans le monde du Fediverse et j’ai pu constater avec Mastodon comment cela s’interfaçait via le protocole ActivityPub. C’est un outil prometteur mais qui a encore un peu de chemin à faire. Mais ce n’est pas ce point qui m’a donné envie de changer.
Ubuntu Touch c’était pour moi une histoire ancienne, après l’avoir suivi avec la campagne de financement participatif que Canonical avait lancée (et qui n’était pas arrivée à terme) pour la création d’un smartphone aux spécifications hyper ambitieuses, je m’amusais à tester les builds du système via l’émulateur que Canonical proposait. Enfin, je m’étais acheté la tablette BQ Aquaris M10 vendue avec Ubuntu Touch installé en natif pour avoir une découverte en conditions réelles. C’est une aventure qui remonte à bientôt une décennie il faut dire. En 2011, le fondateur d’Ubuntu Mark Shuttleworth avait annoncé qu’Ubuntu 14.04 sera disponible sur smartphones, tablettes, smart-TVs, et autres appareils du genre. L’objectif était que la distribution sache s’adapter au hardware sur lequel elle sera installée, ce qui était appelé la “convergence”. La première version d’Ubuntu Touch est sortie en 2013 en “Developer Preview”. Le système supportait à l’époque les smartphones Galaxy Nexus et Nexus de Google et des images pour d’autres modèles faisaient leur apparition. Pour faciliter l’intégration hardware, Ubuntu Touch reposait sur les couches basses du kernel Android et les couches plus hautes du système étaient basées sur Ubuntu. Plusieurs appareils natifs sont sortis avec Ubuntu Touch préinstallés. Hélas, Canonical a mis fin à son projet en 2017 en annonçant l’arrêt du développement faute d’intérêt du marché.
Après avoir joué avec le Pinephone quelques jours sur sa Manjaro d’origine, j’ai donc eu envie d’y installer PostmarketOS (qu’on va abréger en PmOS). PmOS est une distribution Linux basée sur Alpine qui, comme son nom l’indique, s’adresse aux mobiles qui ont dépassé leur commercialisation et sont donc considérés comme obsolètes par leurs fabricants. Rappelez-vous d’Android (car ça c’est un peu amélioré depuis) où si vous vouliez une mise à jour système il fallait racheter un smartphone … Solution économiquement idiote (sauf pour le fabricant, évidemment !) et écologiquement débile.
Comme le Pinebook, le Pinephone est un appareil fabriqué par Pine64. Il est vendu $199.99 par le site et la version que j’ai prise est préinstallée avec Linux Manjaro. Le kit inclus le dock pour le mode convergence. J’ai l’impression d’ailleurs que Pine64 a changé de méthode pour ses envois car le Pinebook était expédié depuis la Chine via DHL, entraînant des frais de port élevés et de la douane. Cette fois, le lot pour l’UE a été expédié depuis un entrepôt en Pologne évitant ainsi les frais de douane. J’en ai eu pour $259.98 sur cet achat avec les frais de port et la TVA, soit 229.78€ au taux en vigueur.
A la suite du billet sur les séries mecha rétro de la Toei sur Youtube, je vous propose un petit avis sur la série Combattler V, la seule du lot à avoir été diffusée en entier sur la plateforme.
Suite au billet sur la série TV Snowpiercer, et intrigué par l’univers de celle-ci, je m’étais procuré l’intégrale de la bande dessinée originale Le Transperceneige. Le série est basée sur le film de 2003 donc il fallait s’attendre à des différences avec l’oeuvre originale. N’ayant jamais vu ce film je ne l’aborderai pas et comparerai uniquement avec la série TV.
C’est ainsi que depuis quelques temps, Toei a publié sur une chaîne Youtube des épisodes de diverses séries animées de mechas mais aussi de séries live de tokusatsu. Hélas un petit regret, seuls les deux premiers épisodes ont un sous titrage anglais proposé par l’éditeur. Le reste est en VO pure.
La documentation officielle Ansible en propose une très bonne liste. Nous allons en reprendre quelques unes ici. J’ajouterai également celles apprises avec l’expérience.
L’inventaire est la liste de hosts qu’Ansible est capable de gérer. Il peut se définir de deux façons : sous forme INI ou bien en YAML. L’inventaire par défaut est celui situé dans /etc/ansible/hosts, mais celui-ci peut être un fichier appelé à la volée.
Raft est un jeu de survie/exploration/construction multijoueur développé par Redbeet Interactive et publié par l’éditeur Axolot Games, tous deux suédois. Celui-ci a débarqué sur Steam en mars 2018 en Early-access (et l’est toujours) et les développeurs maintiennent un rythme d’évolution continue.